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Everything that moves is alive and a threat. - Markus [UC]
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Markus Feuer
Mails : 12
Double-compte : Non.
Surnom : Helsinki.
Emploi/loisirs : Journaliste.
$ : 287
Markus Feuer
Jeu 1 Aoû - 17:52




NOM : Feuer
PRENOM : Markus
SURNOM : Helsinki
ÂGE : 29 ans + né le 16/05/2019
METIER/OCCUPATION : Journaliste
NATIONALITE : Canadienne, Finlandaise

Exovedat

Caractère & Physique

On est samedi soir, mes clefs semblent soudainement étrangères à leur serrure et je crois que j’ai un peu bu.

(J’habite au 4e étage.)


Je monte. Quarante-deux marches. J’ai cette manie de compter tout et n’importe quoi quand je suis bourré. J’ai essayé de compter mes tâches de rousseur la dernière fois. Je me suis endormi après avoir vomit dans les toilettes en essayant d’avoir une vision directe sur des parties de mon corps inaccessibles. Ma nuque par exemple. Ou mon visage. C’est vrai ça, c’est con, je suis le seul être au monde à être incapable de me voir frontalement.

Je crois que ça m’angoisse.

Je commence doucement ce soir. J’ai compté les marches. Sauf que je suis con, j’aurais dû me rappeler que mon appartement se situait encore quatorze marches plus haut. Je me suis acharné sur cette foutue serrure pendant vingt minutes. Puis je me suis mis à pleurer. Personne n’est venu m’aider, je dois leur faire peur, c’est vrai que c’est bizarre un géant d’un mètre quatre-vingt quinze qui pleure sans raison.

Finalement j’ai monté les dernières marches en titubant. J’ai encore bataillé avec la serrure, puis cette dernière a fini par capituler. Je me suis écroulé dans mon salon en chialant comme un gosse. Elle m’a fait chier cette foutue serrure, c’est vrai, et puis je viens de me faire plaquer et ça fait foutrement mal ça aussi.

Je sors la bouteille de scotch du meuble, puis j’essaye d’attraper un verre. Mes mains tremblent, il se brise au sol et je finis au goulot. Je sais pas depuis combien de temps je bois. J’ai envie de vomir ou de mourir maintenant, là, sur le parquet. Les battements de mon cœur continuent de s’emballer. Je crois que je fais une crise de panique. Je n’arrive plus à respirer.

J’ai fait tomber la bouteille.
Je n’arrive plus à respirer.

C’est comme si de l’ambre coulait sur le sol.
Je crois que je suis en train d’étouffer.

L’ambre c’est froid sous ma joue.
Je ne respire plus.

Tonton me tuerait s’il voyait ça.
Tout ce putain de bordel comme il dirait.
Un si bon alcool gâché.

Mon téléphone sonne.
Je crois que j’ai peur.
Ma main tremble.
Le bruit est horrible
c'est assourdissant
assourdissant
je crois que
je suis en train de


— Markus ?


j’arrive pas à parler


— Markus t’es là ?


j'arrive pas


— Putain.


Il a raccroché.
C’était la voix de Christian. Christian c’est mon frère. Mon frère jumeau. Il a fière allure lui. C’est pas le genre de gars à faire une crise de panique à trois heures du matin. Ni le genre de gars qui se fait plaquer. Christian c’est un homme. Comme Tonton. Un vrai, un dur, un soldat. Moi j’ai rien comme mon frère. Je suis juste le type qui se fait plaquer et s’étouffe chez lui à trois heures du matin.

J’ai envie de hurler.
Je crois que je suis en train de hurler.
Demain je compterais les éclats de verre dans ma peau.






….

C’est onze heures du matin. J’ai une gueule de bois pas possible et l’impression de m’être mangé tous les pins de la taïga pendant la nuit. J’ai mal à la gorge et la voix cassée. Je crois que j’ai gueulé comme pas possible hier soir. Je me souviens pas. Je verrais à la tête de la voisine quand je la croiserais au local poubelle.

Ma chemise est foutue. J’ai tellement sué que j’en ai changé la couleur. Elle est pleine de sang et d’alcool aussi. Je crois qu’il y a de la morve sur le col. Je l’ai enlevée avec dégoût pour mieux la jeter à la poubelle. J’ai titubé jusqu’à la salle de bain avec l’impression que les murs changeaient volontairement d’angle à chaque pas. Je me suis écroulé dans la baignoire et j’ai laissé couler l’eau en me remettant à pleurer. Je me suis fait plaquer. Je me suis encore fait plaquer. Pourtant ça allait pas, je le savais, mais moi je suis pas le genre de gars qui part en premier. Je m’accroche jusqu’au bout. J’y crois. Ou peut-être que j’ai juste peur de finir seul, et que je préfère rester avec un connard qui confirme tout ce que Tonton me rabâche. C’est pas stable un homme, au pire pour une nuit, assouvir une lubie, mais faire sa vie avec un homme, c’est un rêve d’idiot. Vaut mieux prendre une femme, parce que déjà avec ça je pourrais lui donner un petit fils, parce que mon frère est trop actif pour pouvoir se poser et revendiquer la paternité d’un enfant. C’est un vrai, un dur, c’est un homme mon frère, et moi je suis juste le type qui s’est encore fait plaquer parce qu’il devrait plutôt aimer les femmes.

Je vomis, enfin, dans la cuvette à dix centimètres de ma baignoire, et j’ai l’impression que le monde tourne un peu moins vite. Je suis pathétique comme ça, à poil dans ma baignoire, à chialer parce qu’un connard m’a plaqué huit heures plus tôt. Je sais pas qui appeler, c’est compliqué avec le décalage horaire, je me met à détester l’atlantique et je me sens encore plus seul. Peut-être que si j’avais une mère je l’aurais appelée, mais il reste juste mon frère à Stockholm et Tonton je sais-pas-où, et mes vieux collocs d’Helsinki qui doivent se mater un film ou être totalement pétés à l’heure qu’il est.

Finalement je sors mon téléphone de ma poche. J’ai pas d’appel manqué, mais j’ai vu que Christian m’a appelé hier soir. Je sais pas ce qui s’est dit. Il a dû abandonner, ou bien se mettre en colère et me raccrocher à la gueule. J’ai pas le courage d’affronter mon frère. Je sélectionne le numéro de Greta, qui doit être avec Olle dans notre appart, et puis j’attends qu’elle décroche avec une grosse envie de me remettre à chialer.


— Ouais ?
— Greta ?
— La seule et l’unique. …. eh ? Kiki ? ça va pas ?


J’ai éclaté en sanglot.


— J’ai… il… je…. Putain j’suis désolé.
— Hey, Kiki, qu’est-ce qui se passe ? C’est Fabien ?
— …. j'suis désolé, j’vais raccrocher.
— Il t’a plaqué c’est ça ? Purée Markus, répond un peu.
— …. ouais.


Silence. Elle doit être gênée, pas savoir dire, ou bien elle en a marre de moi. Je la comprendrais, moi aussi j’en ai marre. On reste une heure au téléphone comme ça. Quand elle raccroche, j’ai presque la motivation de sortir de la baignoire et de m’occuper des éclats qui sont restés coincés dans ma peau. Je me redresse. Je titube un peu moins, j’ai un organisme de colosse, c’est vrai que ça aide pour l’alcool. J’arrive à ne pas glisser sur le carrelage, me trainer jusqu’au miroir pour observer les dégâts, regarder mon corps strié de rouge par endroit. Nu.


Ce serait con de dire que je ressemble à mon frère, alors disons que je ressemble à mon oncle. J’ai cinq centimètres en moins mais la même carrure de soldat. Faut dire que soldat je l’ai été. Gamin déjà, à la maison. Mais ça c’est une autre histoire. J’ai le corps d’un soldat, encore aujourd’hui, aller à la salle c’est un vieux rituel que j’ai pas pu abandonner. J’ai quelques cicatrices qui vont avec cette histoire. Une sur le torse, un barbelé. Quelques coupures, des sutures sur les jambes, un tatouage à la con sur les côtes qui date du service militaire. Un autre à côté, que Greta et Olle ont aussi. Il y a une trace rouge dessus, j’aurais une cicatrice par-dessus la patte du corgi, ça me fait chier.

Je suis un géant blanc comme un cul et plein de tâches de rousseur. Comme si on avait déposé des cendres encore brûlantes sur mon corps. J’aime pas, ça me fait complexer, un instant je me demande si c’est pour ça que mes ex m’ont quitté. Si c’est bizarre, d’avoir autant de tâches de rousseur partout sur mon corps. Si ça fait gamin, alors que j’ai le physique d’un viking. Je complexe aussi sur ma taille. Ça me va pas, je suis trop grand, voyant, imposant, alors que ce que j’aimerais moi, c’est me cacher quelque part et me faire tout petit.

Je passe une main sur mon visage creusé. Je suis bon en maquillage, mais là c’est tout mon anticerne que je vais devoir utiliser pour combler ces fosses. Mon nez, pointu presque au point de piquer, est encore rouge à cause des pleurs. J’observe ce dernier, mon regard aussi bleu que celui de mon oncle, un peu plus humain sûrement. Va falloir que je bosse sévère sur le contouring si je veux avoir l’air présentable pour aller bosser moi ce matin. Bosser. Merde. On est quel jour déjà ? Il est quelle heure ? Putain c’est jeudi.


J’enlève les éclats de verre, je me panse puis je bois un café, en plus d’un truc dont la recette a rien à envier aux eaux de Tchernobyl, remède miracle de la grand-mère d’Olle contre la gueule de bois. Je sais pas si le fait de vouloir encore plus gerber prouve que ça marche. Je m’excuse par SMS au taff, je vomis encore, je me brosse les dents trente minutes en comblant mes cernes. Purée je suis vraiment pas sérieux, je vous jure que ce type qui chiale dans sa baignoire après s’être fait plaquer c’est pas vraiment moi. Pas tout le temps.





— Feuer ? T’as fini l’article sur le Sénat ?
— En cours de relecture.


Je suis à mon bureau, avec mon quatrième café. Je suis coiffé, bien habillé, costard et tout, même si ici c’est plus jean et t-shirt. Vieille habitude. Les sapes c’est la seule chose qu’on a en commun avec mon oncle.

Je baisse les yeux en parlant à mon collègue, pas tellement parce que j’ai encore envie de chialer, je vous jure, je suis timide aussi. Je sais pas interagir avec les gens, me décoincer, ou bien je me met à rougir et balbutier et là on dirait un collégien.

Je chasse la gueule de bois comme je peux en reprenant mon air sérieux et mon écriture un peu guindée dans le journal, le genre d’écriture des types insupportables qui te font la morale à mi-mots comme s’ils étaient mieux que toi, je jure, ça m’horripile parfois aussi, mais le journal a l’air d’aimer et c’est eux qui me paient, alors je continue. Je sais faire que ça de toute façon, ou tenir une arme, mais ça fait quelques années que j’essaie de me sortir ces images de la tête.

J’ai peur d’être ce soir et de devoir retourner à l’appart, ou dans le club où il m’a quitté. Je pense poser des congés, quelques jours, je partirais en vacances quelque part au nord avec mon sac à dos même si c’est bientôt l’hiver. J’aime ça être seul, étonnamment, juste pas entre quatre murs d’appartement qui porte encore son odeur. Je crois que j’ai envie de marcher, gravir une montagne, cracher mes poumons et éviter de tomber, le genre d’adrénaline qui n’engage que moi et remplace la crasse et la poudre qui pique le nez.


— Merci pour le tuyau pour mon dernier papier Feuer. Pourtant y’a un truc qui me chiffonne encore, tu veux pas passer à la maison ce soir pour en parler ?


Je sursaute, puis je me met à rougir comme un con lorsque mon collègue me file un clin d’œil. Je balbutie, je m’étrangle, puis j’articule un « ok » aigüe et pathétique avant de replonger le nez dans mon écran. C’est ça aussi avec moi, je sais pas dire non, et même avec le cœur en miette j’ai toujours un faible pour la moitié de l’humanité. Ou bien je suis faible, tout simplement, un peu con, ça c’est plus vraiment à prouver. Pourtant je vous jure que je suis bon dans mon domaine, j’ai de l’assurance quand ça passe juste sur le papier, je sais être calme, objectif, cartésien, du moins quand ça me touche pas directement.

Et quand on me file pas ce genre de sourire là.
Je souris aussi, un peu bêtement, puis je fais celui qui est soudain très occupé.

Puis je mets encore en sourdine mon téléphone quand Christian appelle, même si je sais que ça va encore le faire enrager.

Informations en vrac


— a travaillé durant trois ans comme photographe de guerre.

— porte régulièrement du maquillage pour atténuer ses tâches de rousseur.

— myope.

— a un tatouage de corgi sur les côtes.

— parle plusieurs langues (finnois, norvégien, suédois, russe, allemand, anglais) et a tendance à se mélanger entre elles lorsqu'il est nerveux.

— jure beaucoup, toujours dans une langue que son interlocuteur ne comprendra pas.

— nerveux.

— cœur d’artichaut.

— bon cuisinier.

— amateur de poésie.

— pleure facilement, sensible.

Avis sur les "faits" de société

Quel est votre regard vis à vis de la société et des humains?
Peut-on justement analyser une société dont nous sommes le contemporain ?

Là est l’art de la sociologie, cette science se trouvant pourtant être subjective et inexacte selon le point de vue adopté par son représentant. Comme toutes les sciences humaines, la sociologie change et évolue au fil des siècles. Il y a encore peu, nous pensions que les animaux n’étaient pas des « êtres sensibles ». Sûrement reviendrons-nous encore un millier de fois sur cette définition au cours des années et des siècles à venir.

Dois-je me risquer à analyser cette société dont je suis l’enfant, avec le peu de recul qu’il m’est donné d’avoir ? De quelle société parle-t-on, déjà ? La Société en tant qu’Être universel n’existe pas. Société n’est qu’un mot regroupant un millier de communautés toutes fondamentalement différentes dans leur histoire et cultures que la mondialisation a cependant égrené au cours des derniers siècles.

Puis-je parler des sociétés que mes « pairs » oppriment encore aujourd’hui ? Il me serait bien mal avisé de le faire. Je suis un homme, blanc, ayant grandit dans un milieu favorisé entre le Canada et l’un des pays les plus riches d’Europe. Il y a des injustices et des situations que mes ancêtres et moi-même n’eûmes jamais à expérimenter. Puis-je en parler de manière éclairée ? Je pourrais les évoquer, mais certes pas me risquer à m’épandre dessus. Certains scientifiques diront que cette distance me rend plus apte à analyser ces « faits de société »-là. J’en doute fort, car je ne possède ni le bagage culturel pour pleinement les appréhender, ni la sensibilité inhérente à ceux concernés au quotidien par cet aspect-là de la société.


Mais peut-être parlez-vous alors de cette société hypothétiquement universelle que forme la mondialisation. Pour l’analyser, alors il faudrait certainement déjà croire en son existence ; ce n’est pas mon cas. Difficile d’analyser une chimère ; et avec le peu de connaissances que je puis me targuer de posséder (je ne connais pas l’histoire de chaque pays du monde sur le bout des doigts), voilà un exercice auquel je ne souhaite pas me risquer.

Je suis un enfant de perpétrateurs. Mes ancêtres ont plus été enclins à mener la guerre qu’à faire prospérer une culture où la richesse de l’esprit et la différence étaient célébrés. Je suis le fruit d’une éducation rigide ayant épandu ma compréhension de l’obéissance au détriment de la sensibilité inhérente à ma propre nature. Je suis un héritier de carnage, et pour cette raison l’unique société que je puis me risquer à analyser sans crainte d’en déformer le prisme est celle de l’aliénation et de la réification propre à notre nature hédoniste.


Quel est donc mon regard sur cette entité cyclopéenne et les humains qui la vénèrent ou qu’elle écrase ? Je m’épands bien assez dans mes articles pour que vous puissiez y chercher la réponse. Si je dois rester bref (et vous remarquerez que la capacité de synthèse ne fait pas partie de mes qualités), alors je dirais que mon regard est défiant vis-à-vis de la société, mais empreint d’une triste bienveillance envers ceux qui la subissent.

Je vis seulement dans la crainte et la certitude que le moment viendra où l’humanité se réveillera, et réalisera sa position de perpétratrice quand à la question de ces androïdes qui nous entourent.


Que pensez-vous de la question des Androïdes ? Considérez-vous plutôt pour, contre ou neutre ? Croyez vous à la légende urbaine des androides doués de conscience? Si oui, pourquoi?  


Histoire

Quand j’étais gosse, je dessinais Christian et Tonton au premier plan avec moi, et puis Maman dans le fond, en même temps que le soleil. Je lui faisais des cheveux très rouges et jaunes, tout ébouriffés, comme une couronne, un grand sourire et des yeux qui nous observaient depuis là-haut. Christian et Tonton portaient une sorte de treillis et moi une robe comme celle de Maman. Je me suis fait beaucoup engueulé par mon oncle, gamin, pour comprendre qu’un petit garçon ça ne mettait pas de robes.


Mon oncle s’appelle Franz. Franz c’est un allemand qui parle un anglais d’avant-guerre et qui fait peur aux gens dans la rue. Deux mètres de muscles et de sécheresse militaire. Il était dans l’armée avant de nous récupérer, puis il a tout quitté pour nous. C’est l’homme le plus droit et le plus courageux que je connaisse. Le plus effrayant aussi. Lorsque Franz parle, il émane de lui une autorité naturelle que j’ai toujours admirée et redoutée. J’ai toujours ce vieux sentiment de culpabilité qui revient quand je l’entends parler. Je sais qu’il a abandonné sa carrière pour nous élever et être père, alors que chaque fibre de son corps est taillée pour la guerre. C’est un homme terrifiant mais qui sacrifierait tout sans hésiter pour sa propre famille.

Christian et moi sommes nés au Canada, puis Franz est arrivé dans notre vie quelques heures après. Nous avons grandi dans un pavillon près de Raasepori, à quelques heures d’Helsinki. Le jardin donnait sur la mer Balte, quelques mètres plus loin. Le matin, j’entendais le bruit des vagues qui s’échouaient sur les îlots alentours. Je n’ai jamais autant aimé une sensation.


EN COURS///

Derrière l'écran

PSEUDO : Eliott
ÂGE : 20 ans, j'ai passé la seconde décennie, je me sens vieille.
OÙ AS-TU CONNU HUMAN OUTSIDE ? BAH EN FAIT FUN FACT J'ETAIS SIGYN AHAH DES BARRES du coup ça fait déjà un bon bail.
AVATAR : Markus Feuer @ Eliott
UN PETIT MOT ? Alors à la base je voulais écrire un truc un peu intelligent si possible mais surtout long par pur esprit de contradiction mais je suis une immense flemmarde alors je vous laisse sur un bisou. Ah si, petit disclaimer, le titre de cette fiche n'est pas de moi parce que je n'ai aucune inspiration pour ce genre de choses, c'est le titre d'un poème de Kaveh Akbar voilà. Chic poète. Bisou.
J'AUTORISE UNE INTERVENTION SAUVAGE DU PLAISANTIN ? Alleeeeeer vieeeeens

Thomas Loiseau
Mails : 113
Double-compte : Céleste Francoeur
Surnom : Tom, Tommy
Age du Montréalais : 28
Emploi/loisirs : SDF - Sans emploi
Portrait robot : • Parfois camé.
• Souvent paumé.
• Musique en tête, l'Esprit en miette.

Fredonne en #e00030
$ : 2721
Thomas Loiseau
Sam 10 Aoû - 15:03
Se pose là et attend la suite

Ce vava est cute.
Du love krkr
❤
Milan Horvat
Mails : 116
Double-compte : None
Surnom : Miles
Emploi/loisirs : Gaufrier
$ : 3631
Milan Horvat
Mer 21 Aoû - 22:43
Bienvenue !

Déjà, j'aime toute la philo que tu nous sers, ça va donner un perso sympa, j'en suis sûre !
On attend la suite ! *-*

Et juste : rien que pour le "Perkele", je te kiffe.
Markus Feuer
Mails : 12
Double-compte : Non.
Surnom : Helsinki.
Emploi/loisirs : Journaliste.
$ : 287
Markus Feuer
Mer 4 Sep - 19:43
Moi moi !

Merci à vous deux ♥
J'ai eu un retard supplémentaire pour cause de déménagement mais je m'y remets activement !


Huhu, kiitos c:
Des bisous !
Dolores Noguchi
Mails : 24
Double-compte : aucun
Emploi/loisirs : Etudiant
Portrait robot : ۞ 1m74.
۞ Voix graveleuse.
۞ Hispano-Japonais.
۞ Blond cendré.
۞ Yeux marron-rouge.


Inventaire :

• Baron - Galgos
• Guitare Électrique - elle a un super son
• Ses écouteurs - y en a un qui ne marche plus
• Casserole - toujours prêt à cuisiner épicé
$ : 608
Dolores Noguchi
Mer 4 Sep - 19:52
Bienvenue par ici le roux ! coucou

J'aime bien ton style écriture de ce que j'en lis pour le moment, bon courage pour écrire la suite :3
Markus Feuer
Mails : 12
Double-compte : Non.
Surnom : Helsinki.
Emploi/loisirs : Journaliste.
$ : 287
Markus Feuer
Mer 4 Sep - 22:22
Merci à toi !
Je suis heureux que le début t'ai plu, j'espère que la suite sera à la hauteur. c:
Bisou ♥
Numa Maggiorano
Mails : 156
Surnom : Weirdos
Emploi/loisirs : Pirate
Portrait robot : — Hyperesthésie.
— Tremblement essentiel
— Intolérant au gluten.
— Phobie sociale.
— Mauvaise motricité.
— S'exprime via son smartphone
$ : 2984
Numa Maggiorano
Sam 7 Sep - 14:19
Rebienvenue petit coeur en guimauve, ton perso est chouette :)
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