Le Deal du moment :
Code promo Nike : -25% dès 50€ ...
Voir le deal

Matsuhiro Yumiko, à la recherche de son humanité
 :: Personnages :: Identification :: Validés

Matsuhiro Yumiko
Mails : 5
Double-compte : >.>
Surnom : ARKANE, Yumi
Emploi/loisirs : Étudiante
Portrait robot : Hyper empathique et impersonnelle à la fois

Maladroite socialement, mais dotée d'un grand charisme

Réservée, parle peu ou pas de son passé

Adore la musique mais chante rarement

Dévore la culture en tout genre à un rythme effarant
$ : 144
Matsuhiro Yumiko
Mer 16 Jan - 0:19




NOM : Akiyama, Matsuhiro (identité actuelle)
PRENOM : Nanami, Yumiko (identité actuelle)
SURNOM : Yumi, ARKANE
ÂGE : 21 ans
METIER/OCCUPATION : Étudiante
NATIONALITE : Japonaise

Humaine?

Caractère & Physique

Caractère
Malgré le fait qu'elle soit hyper empathique, Yumiko a établi un mur entre elle et le reste du monde: elle est réservée, parlant peu de sa vie privée; et peine à établir des liens durables et véritables. En effet, malgré un grand charisme, elle peine à trouver les bons mots et les bonnes choses à dire (notamment à cause d'une éducation et aux contacts restreints). Un sourire, un simple effleurement du bout des doigts, et elle peut changer l'attitude des autres, mais lorsqu'elle parle, elle est maladroite et incertaine. Malgré cette distance qu'elle impose aux autres, elle aime être entourée de gens, se nourrir de leur créativité et de leurs paroles.

Passionnée de culture, elle lit tout ce qui lui passe sous la main, elle visionne toutes les émissions possibles, elle passe des heures à surfer sur Internet. Elle est pas mal toujours au fait de ce qui se passe.

Pour Yumiko, le fait de pouvoir faire des choix, de pouvoir décider, de pouvoir ce chercher ... il s'agit de privilèges qu'elle n'a pas connu avant et dont elle profite pleinement aujourd'hui. Le fait de pouvoir choisir ce qu'elle va porter, ou de sortir ou pas, lui redonne foi en son humanité. Tout le oncept de l'humanité est d'ailleures, pour elle, un fastidieux combat: elle vit dans une crainte constante de ne plus être humaine, qu'on lui ait imposé des souvenirs (qu'ils soient vrais ou faux importe peu), d'être artificielle. Cette recherche d'elle-même l'a mené à jouir de sa propre liberté avant qu'il ne soit trop tard.

Yumiko est ...

  • Charismatique
  • Hyper sensible
  • Créative
  • Paranoïaque
  • Simple et bonne


Yumiko aime ...

  • L'inconnu
  • La culture
  • Les humains
  • L'art
  • La liberté


Physique
Yumiko doit maintenant passer inaperçu, du moins dans une certaine limite, ainsi, son apparence est maintenant moins soignée qu’elle ne l’était il y a quelques années : elle porte ses cheveux relativement courts, partiellement déteints pour être bruns au lieu de noir. Sa peau est relativement pâle mais Yumi reste indéniablement asiatique. Elle porte des vêtements simples, préférant les chemisiers et les jupes assez courtes, lui donnant l’impression de pouvoir enfin être une femme. Même aujourd’hui ses ongles sont toujours parfaitement manucurés et son maquillage est presque toujours parfait.

Informations en vrac



Avant de devoir laisser leur vie derrière eux, ses parents étaient des ingénieurs travaillant sur des formes poussées d’intelligence artificielle. Leurs travaux ont été récupérés par le gouvernement japonais et ils ont signé des ententes pour ne pas révéler leur part dans ce travail ou exploiter ces connaissances. Ils ont donc choisi une vie simple, passant sous le radar des autorités, vivant pauvrement jusqu'à ce que leur fille se fasse connaître et leur permettre de retrouver un certain luxe dans leur vie. Lorsque Yumiko a entendu parler de cette histoire, des liens ont commencé à se former.

Yumiko craint d’être, en fait, une intelligence artificielle ou même une androïde car elle ne se sent pas humaine, et elle a l’impression d’être une machine perfectionner pour performer et attirer les foules : elle voit très peu de différences entre elle et ces machines hyper perfectionnées pour performer dans un domaine donné. Je n’ai pas déterminé si elle était humaine ou pas encore, j'ai envie de demander si c'est possible de décider une fois en jeu.

Yumi est atteinte d'hypermnésie, et ses épisodes sont plus fréquents depuis l'adolescence, ce qui pousse, entre autres, son questionnement.

Ne sachant ce qu’elle aime vraiment, Yumiko passe beaucoup de temps à l’université, devant la télévision, devant les podcasts, sur Internet, … elle ingère la culture à un rythme effarant. Elle a presque toujours des écouteurs sur la tête, préférant une vie remplie de musique.

Yumiko essaie de ne pas se faire remarquer et de ne pas faire de vague, mais son charisme naturel lui rend la tâche plutôt difficile.

Avis sur les "faits" de société

Quel est votre regard vis à vis de la société et des humains?
Yumiko voit encore la valeur des cultures et les différences visibles entre celles-ci. Elle adore la richesse du monde humain, mais peine à se demander si elle fait partie de ce monde ou pas. Elle entretient une relation complexe avec les autres humains, ne sachant vraiment comment vivre avec eux, se sentant souvient bien différente, pensant même qu’elle est, en fait, une androïde.

Que pensez-vous de la question des Androïdes ? Considérez-vous plutôt pour, contre ou neutre ? Croyez-vous à la légende urbaine des androides doués de conscience? Si oui, pourquoi?
Elle y croit, elle ne pense pas que ce soit une légende urbaine. Elle essaie encore de comprendre quelle est la différence, aujourd’hui, entre un humain et un androïde, la ligne étant si fine que certains passent parfois d’un côté à l’autre.


Histoire

« Née Akiyama Nanami, sous ce nom, jamais je n’ai vécu. »
Cette histoire, mon histoire, je la connais trop bien. Comme si je l’avais lue et relue, au moins de la graver dans mes souvenirs. De ce passé, j’entends les sois, je ressens les joies et les peines, je vois les couleurs et goûte toutes les saveurs. Mais les souvenirs d’un humain sont-ils jamais aussi parfaits? Aussi vifs?

La personne que j’étais, je l’ai laissée derrière moi, mais voici ce que me murmurent mes souvenirs :

Il faisait jour, lorsque tu es née. La lumière extérieure filtrait au-travers des rideaux rouges diaphanes. Ta mère était crispée de douleur, ton père a été écarté de la pièce. Ici, on ne partageait pas ce moment en famille : c’était un moment entre femmes. On eut dit une petite équipe de fourmis, aguerries et s’attelant à cette ingrate et intime qu’elles connaissaient si bien. Et bientôt, tu es née. Cela n’a pas été sans heurts : ta mère n’a plus jamais été la même après. Alors que ta mère se reposait, on t’a présentée à ton père. La déception était visible sur son visage, comme si encore à ce moment, il avait espoir de voir un autre enfant. C’est bien plus tard que tu as appris que ta mère peinait à porter des enfants à terme : elle en avait perdu déjà plusieurs avant de t’avoir.

Malgré les doutes planant sur la pauvre famille qu’était la tienne, ta mère se remit de son accouchement et la vie pris son cours pour toi. Tes parents n’étaient pas fortunés, et ils travaillaient à chaque heure pour assurer ton futur, pour avoir de la nourriture à t’offrir. Tu as passé de nombreuses nuits et journées chez tes grands-parents, tes tantes, tes oncles, les amis de tes parents, qui travaillaient sans cesse dans ce petit hôtel minable en bordure de Beppu. Quelle idée avaient-ils eu de quitter la ville pour s’installer en bordure d’un village touristique, de bâtir un hôtel de toute pièce …? Cette réponse aussi, tu la connais, mais elle attendra à un autre jour.

Tes premières années se sont écoulées entre les bras d’étrangers de qui tu as rapidement été plus proches que de tes parents, de vidéo en réalité augmentées qui t’ont appris ce que tu devais savoir, de parents distants qui chaque jour se parlaient moins et plus fort …
Puis sont venus les jours d’école. Tu y es rentrée avec des rêves plein la tête, et de la joie plein les yeux : pour la première fois, tu pouvais discuter avec des enfants, tu pouvais échanger, grandir, entendre leurs paroles, leur vocabulaire si … différent du tien : tu reconnaissais dans leurs inflexions des réflexes appris de leurs parents. Tu t’es sentie à l’écart dès les premières journées : ils devaient déjà savoir que tu n’étais pas comme eux. Malgré ce fossé entre les autres enfants et toi, tu n’as jamais abandonné : tu t’es enfermée un moment dans ton monde, mais tu n’as jamais brûlé les ponts, tu as lancé des dizaines de bouées de sauvetage à d’autres enfants qui, comme toi, ne trouvaient pas leur place. Ta voix les réconfortait : tu avais toujours les bons mots; tes sourires les attendrissaient : ton empathie était ressentie par chaque enfant et chaque adulte croisant ta route.

Ta première apparition à la télévision a changé ta vie. Tu avais 7 ans. Une équipe locale tournait un reportage sur les hôtels de la région, rien de très intéressant. Tes réponses posées, tes sourires calculés, ta candeur enfantine … tu as eu tôt fait de charmer la nation en entier. Et si, a priori, les retombés de cette simple entrevue a aidé tes parents à sortir de cet Enfer financier dans lequel ils s’étaient enfermés, l’œil de la caméra ne te laisserait plus jamais t’évader. Les offres sont venues d’un peu partout, tout d’abord des petits rôles, de plus en plus important au fil des ans, si bien que tes parents ont dû engager un agent.

Étais-tu malheureuse? Pouvais-tu même l’être? Seule toi le sais … Les années se sont enchaînées et pourtant tu te souviens aujourd’hui de chaque rencontre, de chaque cours, de chaque moment partagé à l’écran ou loin de celui-ci, de la solitude, des cours de chants, des cours de jeu, des signatures de contrat, des séances de photographie, des autographes, de tes parents qui te poussaient à sourire et à continuer, des contrats et des concerts même quand la fatigue t’assaillait … chaque moment, incrusté dans une mémoire qui ne t’abandonnera pas, même si toi, tu cherches à l’abandonner.

Ta vie au complet : un chemin tracé par tes parents et leur soif de vivre dans l’ombre de ton succès.

Est ensuite venue l’adolescence : ton succès t’amenait loin de ton Kyûshu natal, et loin de tes amis qui bientôt n’étaient plus que des connaissances. Tes parents ont signé des contrats avec une agence, et bientôt t’ont laissée seule avec une corporation dont les bureaux stériles portaient cette odeur d’argent. Déjà à quatorze ans, tu comprenais que tu ne savais pas qui tu étais, tu n’en avais pas la moindre idée. Tu savais que ce qu’on attendait de toi, ce que tu devais être. Ta voix était sans pareil, elle l’est certainement encore : chaude et rocailleuse, qui portait le poids d’années bien au-delà des siennes, tout en âme et en douceur … elle enchantait quiconque l’entendait, comme faisant vibrer tous les cœurs au même rythme. On te l’a souvent dit mais tu ne le croyais pas à ce moment : ta voix semblait surréelle, comme si elle appartenait à un autre monde, comme si elle était générée par une machine, parfois. Ces doutes ne t’ont jamais quittée : ta voix n’était-elle pas celle d’une machine?

À vingt ans, tu aurais pu aisément quitter cette vie, mais tu as choisi de ne pas le faire immédiatement : c’était la seule vie qu’il te restait maintenant. Tu as coupé les ponts avec tes parents, dès que tu en as eu la chance : depuis des années tout ce qui les unissait encore était l’argent que tu leur rapportais toujours : mais plus maintenant. Ton succès était le tien. Ton argent était le tien. Ta vie était tienne.

C’est du moins ce que tu as cru pendant un moment.

Incapable de tisser des liens avec les autres idols ou avec les artistes que tu côtoyais, incapable de rencontrer des gens qui n’étaient pas des connaissances ou des connaissances de tes connaissances, tu t’es rapidement enfoncée … enfoncée dans tes pensées de plus en plus sombre.

Pendant des années tu as vudes filles comme toi, remplacées une par une par des créations artificielles : des robots programmés pour générer des émotions. Et ces filles, tu ne les revoyais pas. Elles disparaissaient.

Et l’inquiétude s’est mise à grandir : serais-tu la prochaine? Est-ce qu’une machine te remplacerait aussi? Au fil des ans, l’inquiétude laissa place à la paranoïa : peut-être étais-tu déjà l’une d’entre elle? Tu ne t’étais jamais sentie comme les autres, tu ne comprenais pas les humains, tu les regardais toujours comme s’ils t’étaient extérieurs, tes souvenirs étaient trop précis, ta voix trop parfaite … et au cœur de toutes ces questions, il y avait toi : toi qui ne savais pas qui tu étais, toi qui avait grandi mais qui n’avais pas vraiment vieilli, toi qui existais sous le regard des caméras, toi qui te nourrissais des applaudissements … une coquille ville : le produit de ce que souhaitaient tes parents.

Tu as choisi de partir, tu te devais de partir.

« Sur ce continent où j’ai posé le pied à vingt-et-un  ans, je suis née Yumiko Matsuhiro. Yumi. Et maintenant, je dois me reconstruire. »

Je suis disparue de la société il y a de cela quelque mois : après un concert à New-York, je suis disparue, et ARKANE n’a plus jamais été revue. Tout était prévu. Aucun ami dans le vrai monde, mais en ligne, je connaissais tous ceux que je devais connaître : celui qui m’a fourni une nouvelle identité, celui qui a vidé mes comptes, celui qui m’a permis de m’échapper…

J’ai recommencé ma vie à Montréal. À vingt-et-un ans. Sous une nouvelle identité. Une vie simple, qui je l’espère me permettra de comprendre qui je suis vraiment. Ce que je suis vraiment.

Derrière l'écran

PSEUDO : Arikanthus
ÂGE : 30quelques années
OÙ AS-TU CONNU EXANTROP ? « I’ve been around »
AVATAR : Niijima Makoto, Persona 5
UN PETIT MOT ? Nope.
J'AUTORISE UNE INTERVENTION SAUVAGE DU PLAISANTIN ? Oui

Matsuhiro Yumiko
Mails : 5
Double-compte : >.>
Surnom : ARKANE, Yumi
Emploi/loisirs : Étudiante
Portrait robot : Hyper empathique et impersonnelle à la fois

Maladroite socialement, mais dotée d'un grand charisme

Réservée, parle peu ou pas de son passé

Adore la musique mais chante rarement

Dévore la culture en tout genre à un rythme effarant
$ : 144
Matsuhiro Yumiko
Jeu 17 Jan - 0:44
J'ai fait quelques petits changements. J'espère que cela conviendra! :)
L'Archiviste
Mails : 651
Double-compte : Léandre - Logan - Johann
$ : 1674
L'Archiviste
Sam 19 Jan - 16:54
Validation

Hello!
J'ai pris un peu de temps mais j'ai le plaisir de te valider!
Le concept de ce personnage est original et je suis impatiente de la voir évoluer ♥️ (et de savoir si c'est une humain ou un T-5 8'D)

Va t'abreuver de culture maintenant! Tu trouveras ptét des camarades de jeu intéressants en Numa, ou Akela ! (En tout cas, c'est ma sélection pour Yumi ahah)


Voilà ! Maintenant tu es validé(e) ! Ton avatar et ton métier ont été ajouté automatiquement aux listes de référencement.

▬ Dans les plus bref délais ton dossier personnel sera créé ICI et tu pourras en faire ce que tu veux (explications).
▬ Si tu n'es pas SDF tu peux aller faire ta demande de logement.
▬ Et comme un androïde a normalement un propriétaire tu peux aller faire un tour sur ce sujet pour te trouver un propriétaire ou un androïde si tu es humain.
▬ Tu peux bien évidemment faire des demandes de RP, vérifie juste les demandes précédentes au cas où il y aurait compatibilité des demandes !
▬ Pour encourager les membres à s'impliquer dans le développement du forum, la partie secréte où sont gérés les events et les intrigues à venir t'est ouverte -selon ta volonté-. Tu peux ainsi donner ton avis, enrichir les idées ou juste regarder. Il suffit d'en faire la demande par MP à Léandre.
▬ Vous pouvez aussi participer aux différents petits jeux et événement hors IRL dans la partie Animation et gagner des dollars pour avoir des lots!
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum

 :: Personnages :: Identification :: Validés
Matsuhiro Yumiko, à la recherche de son humanité

Sauter vers: