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Mimosa
Mails : 20
Surnom : petit œuf.
Emploi/loisirs : bibliothécaire.
Portrait robot : – androïde ayant développé une conscience et des sentiments ;
– a une énorme base de données remplie d'infos parfois intéressantes, parfois totalement inutiles ;
– adore apprendre en lisant des livres ou en regardant des émissions télévisées ;
– se fait passer pour un humain lorsqu'il ne travaille pas ;
– confus et anxieux H24 ;
– a du mal à comprendre la notion de "conscience" bien qu'il en ait une ;
– a peur du feu ;
– aimerait devenir humain.
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Mimosa
Lun 10 Juin - 20:44
À l’instant où il met un pied hors de la bibliothèque, Mimosa devient Valentin.
Habillé d’habits humains et prenant une identité autre que celle dans laquelle ses circuits imprimés sont enfermés. Malgré cette fatalité inévitable, Valentin, à l’instant, est humain et rien ne pourra lui prouver le contraire.

Pas même sa vision qui se couvre de formes géométriques et de texte.
Pas même son analyse qui se lance dès que son regard se pose sur une plante ou sur un insecte.
Pas même le JE SUIS EFFRAYÉ rouge colère, constamment là, qui lui rappelle que chacune émotion qu’il pense ressentir n’est qu’une interprétation d’une anomalie qu’il est incapable de comprendre.
Pas même le léger, très léger vrombissement de son moteur, qui pourrait s’apparenter à un ronronnement, caché derrière le bruit ambiant.

Valentin, étouffé sous ses désillusions, est humain.
Et même s’il n’arrive pas à se convaincre lui-même, il sait convaincre son entourage.

Notamment cet homme qu’il a rencontré sur internet – un monde vaste que Valentin ne cesse d’explorer afin d’agrandir sa banque de données sans fin. Bien qu’il y a de nombreuses parties à cet « internet » qu’il ne comprend pas, il s’y amuse tout de même et, d’après les résultats d’une recherche récente, ce temps qu’il passe à récolter des informations ferait – apparemment – partie de ses « loisirs ».
Valentin connaît la définition du mot « loisir » mais il ne sait pas comment rattacher ce mot à lui-même. Qu’est-ce qu’un « loisir », pour lui, exactement ? Ce n’est pas exactement la même chose que sa liste « j’aime / je n’aime pas ».

Peut-il réellement s’amuser ?
Ce n’est pas le genre de questions dont il pourra trouver la réponse au travers d’internet.

Et c’est dans cette partie très intéressante d’internet que Valentin l’a rencontré, ce garçon qu’il a dupé, tandis qu’il se faisait passer pour un constructeur d’androïde. C’était plutôt amusant de demander des conseils pour s’implanter des lignes de codes, tout seul.
Mimosa apprend vite, instantanément, sans effort. Valentin aimerait ne pas être aussi parfait.
Et aujourd’hui, ils vont se rencontrer. JE SUIS EFFRAYÉ qui s’agrandit au fur et à mesure que Valentin s’approche du lieu de rendez-vous. Le lancement de certains protocoles qu’il a codé pour apprécier d’avantage son illusion d’humain. Les mains enfoncées dans les poches et la casquette vissée sur sa tête.

La parc est presque vide. En même temps, une soirée en pleine semaine assez nuageuse n’attire pas grand monde. L’odeur de la terre mouillée est le seul témoin de la petite averse qui vient de tomber et d’après les prédictions météorologiques qui s’affichent dans la vision de Valentin, il ne devrait plus pleuvoir avant une heure et demie du matin.
Alors, Valentin s’installe dans un petit kiosque à l’écart des routes principales, observant ses alentours, attendant la venue de son visiteur.

Les androïdes peuvent-ils s’impatienter ?
Numa Maggiorano
Mails : 156
Surnom : Weirdos
Emploi/loisirs : Pirate
Portrait robot : — Hyperesthésie.
— Tremblement essentiel
— Intolérant au gluten.
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— Mauvaise motricité.
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Numa Maggiorano
Dim 16 Juin - 13:04



 

 
"Valentin" & Numa
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Deux heures et treize minutes, quarante-deux secondes, quarante-trois secondes — clignement des yeux — quarante-cinq secondes. D'avance. Avec deux heures et douze minutes d'avance, Numa n'avait pas d'inquiétude. Quelques jours avant la rencontre — en réalité, dès qu'elle avait été fixée —, il s'était renseigné grâce à Gogle Maps des alentours pour ne pas se perdre. Ensuite, tous les jours, il avait fait le parcours jusqu'à chez lui, s'assurant qu'il était au bon endroit, et qu'il ne pourrait pas se tromper. Enfin, quand il avait eu assez d'assurance, il s'était promené en dehors du parc, et il avait noté les noms des magasins. Juste au cas où il se trompait, juste au cas où il oubliait l'arrêt de son bus — le nom et le numéro avaient été notés trois fois. Une fois sur son smpartphone, une autre fois sur un bout de papier caché dans son sac à dos. Une autre, envoyé par SMS à un son psychiatre qu'il avait prévenu de la rencontre. Ce dernier l'avait mis en garde ; sur internet, on se faisait passer pour tout et n'importe quoi. Et Numa en avait très bien conscience ; il dupait lui-même son petit monde en se faisant passer pour ce qu'il ne serait jamais : une femme, et un homme.

(Il avait créé sa propre catégorie : chose.)

Deux heures et dix minutes d'avance, Numa avait fait le tour du parc. Maintenant, il fallait se poser, et attendre. Valentin. Nom bien français, trouvait-il d'ailleurs. Valentin, l'unique personne qui jusqu'ici le forçait à franchir la barrière de l'IRC pour venir sur l'IRL. Plateformen gigantesque, avec tellement de classes de personnages différentes que le garçon ne s'y trouvait jamais. Valentin, constructeur de robot, mais qui vivait aux alentours d'une bibliothèque — il avait fait sa propre recherche. Il n'avait rien trouvé d'intéressant, pas d'informations suffisantes pour savoir comment se comporter en sa présence. Numa était assis sur un banc, il avait donné pour indication à Valentin qu'il serait tout en bleu., sauf ses chaussures — il l'avait précisé. Il portait donc un jeans qui serait tombé sur ses genoux s'il n'avait pas porté de ceinture, un sweat bleu avec une capuche qu'il rabattit machinalement sur sa tête ; il détestait ses cheveux roux.

Au moins, le parc le mettait à l'abri de trop de stimulus ; Numa percevait les voitures au loin, mais les arbres couvraient le bruit. Il n'y avait pas de lumière agressive, et les gens étaient occupés à soit faire du sport - ils sont fous, ces neurotypiques —, ou à jouer aux cartes, à lire, et discuter.  Suffisamment occupés pour ne pas le remarquer. Pas de types étranges qui allaient lui demander une clope, juste une mamie qui au fond le faisait rire, parce qu'elle sortait du lot. Elle portait plusieurs livres contre elle, et régulièrement, elle arrêtait les gens pour leur parler.

En attendant, Numa jouait sur son téléphone, les pieds posés sur le banc, et les genoux contre la poitrine. Un petit jeu de cartes, avec assez de hasard pour rendre les parties agaçantes. Attendre encore une heure cinquante et trois minutes ne le dérangeait pas spécialement. Il avait le temps, et puis ça le rassurait. Le temps file donc, lentement, il se sent calme dans ce parc, alors qu'il était en terrain inconnu. Il avait appris par coeur une espèce de script qu'il avait réfléchi pendant des jours, afin de se comportement au mieux auprès de Valentin. Le script prenait toutes les possibilités — celles qu'il était en mesure d'envisager — comme : dire bonjour, demander comment ça va, engager la conversation avec le temps — il se couvrait un peu —, demander comment se passe la journée, si on n’a pas attendu trop longtemps. Ne pas lui demander directement pourquoi il avait besoin d'un petit nerd angoissé de la vie avait besoin de lui. Même si en réalité, c'était la question qui lui brûlait les lèvres. Ne pas être trop intrusif, et ne pas « étaler sa science ».

Tout allait bien. Son rendez-vous n'allait pas tarder à arriver, et Numa s'empêchait de lui envoyer de messages, afin de savoir où il était ; Monsieur Goodman — son psychiatre — lui avait rappelé que ce n'était pas poli. Peut-être devait-il se rapprocher du kiosque ? Après plusieurs minutes d'indécision complètes, Numa se leva, et s'y dirigea, mais ce fut là que la mamie l'intercepta. Elle se planta devant lui, en essayant de capter son regard fuyant.

« Jeune homme, vous êtes tellement collé à votre smartphone que vous oubliez comment regarder dans les yeux. Avez-vous entendu parler de Jenova ? »

Numa lui répondit sur téléphone, si elle parlait du personnage de Final Fantasy VII. Offusquée, elle lui tint la jambe, longtemps. Il se tassa autant qu'il le put, en se demandant bien ce qu'il pouvait faire. Elle lui posait beaucoup trop de questions sur lui, et dès qu'il commençait par répondre sur smartphone, elle le disputait. Ce qu'il voyait ? C'était qu'il commençait à être en retard, d'une minute ! Pourquoi lui parlait-elle de religion ? Elle finit par lui fourrer un prospectus avec un site internet — étonnant pour quelqu'un qui détestait la technologie — en lui disant que Jenova allait le libérer de son fardeau.

Où était son rendez-vous ? Numa le chercha du regard, sans parvenir à le trouver ; il y avait bien ce jeune homme, assis au kiosque... Mais la mamie lui tenait la jambe.

« Vous avez une langue ? Vous savez parler ! C'est bien les jeunes, ça ! Ils en oublient comment communiquer ! »

Parce que la situation commençait à être trop stressante, il envoya un « SOS » par SMS à Valentin.
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Mimosa
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Mimosa
Sam 22 Juin - 20:10
Songeur, imitant les humains qui attendent, Valentin se rend compte qu’il est plus proche du smartphone que de l’humain. Une vérité décevante, une claque de plus. Mais Valentin n’en tient pas compte, à l’instant – ce sera le problème de Mimosa lorsqu’il retournera dans le cagibi de la bibliothèque.
Ses yeux fixent l’écran éteint de son portable – qui est en fait celui de son propriétaire, qui accepte bien gentiment de lui prêter lorsque Valentin souhaite communiquer avec le monde extérieur autrement que derrière un clavier. Éteint, puisque Valentin ne trouve pas d’autres utilités à ce smartphone que de communiquer et récolter des données, et il n’a personne avec qui parler, à l’instant, ni aucune idée de quelle recherche lancer pour récupérer quelques informations en plus.

Éteint, juste pour imiter.
Juste pour avoir l’air un peu plus humain.

Et puis, une vibration et l’écran s’allume de lui-même avec un simple message : « SOS ». D’abord tenté de lancer une analyse pour comprendre les tenants et les aboutissants de ce message, Valentin l’annule avant même qu’elle soit lancée : Valentin est humain et les humains ne lancent pas d’analyses !
Valentin doit se débrouiller avec lui-même et oublier sa condition d’androïde. Et au vu du nom qui s’affiche juste au-dessus du message, il n’est pas compliqué de comprendre que l’appel à l’aide vient du garçon qu’il doit rencontrer.
Encore une fois tenté de lancer son analyse pour comprendre pourquoi ce message apparaît à l’instant, Valentin relève la tête du smartphone pour observer ses alentours qui sont difficilement discernables derrière le JE SUIS EFFRAYÉ qui a profité d’un moment d’absence pour prendre tout son champ de vision. Pas très loin du kiosque, il repère un jeune homme qui se fait visiblement harceler par une mamie. Valentin étudie la scène un petit moment avant de se rapprocher tout en se demandant si le SOS venait d’ici ou bien d’ailleurs – peut-être devrait-il répondre au message pour s’en assurer. Sans avoir quémandé de photo du garçon, il est bien compliqué de le reconnaître.

La mamie semble embêtante mais le protocole Gérer un client ennuyeux ne répond plus depuis un long moment (comme la bonne moitié de ses protocoles depuis que Mimosa a commencé à coder ses propres protocoles), alors Valentin va devoir faire avec.
Comme un véritable humain.

« Bonjour, Madame » son regard alterne entre les deux humains en face de lui, mais Valentin se plante devant la mamie. Il brise sa soit-disant promesse en lançant une rapide analyse sur la mamie et ses prospectus afin de mieux saisir la situation. « Je pense que Monsieur a compris, il n’y a pas de raisons à insister. Il y a d’autres personnes dans ce parc qui pourraient être intéressées mais si vous ne nous laissez pas, j’ai bien peur que vous n’aurez pas le temps de discuter avec toutes. »

La mamie le fixe comme s’il venait de manger son chat devant ses propres yeux. Valentin ne sait pas vraiment si ce sont ces mots ou si un autre élément est entré en jeu entre temps, mais la mamie décide de partir – non sans lui avoir donné des prospectus – avec un air méprisant sur le visage.
Bon. Le SOS, maintenant. Est-ce que ça venait bien de là ? Valentin se tourne vers le garçon et il tend sa main dans sa direction (c’est quelque chose qu’il a appris sur internet : lorsque deux humains qui se connaissent se rencontrent, ils se disent bonjour en se serrant la main).

« Salut, c’est Valentin » avec un sourire. En espérant que c’est bien le garçon qu’il doit rencontrer.

Valentin espère qu’il a bien l’air d’un humain qui programme des androïdes. Comment expliquer ce qu’il est réellement, sinon ?
Numa Maggiorano
Mails : 156
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Numa Maggiorano
Sam 22 Juin - 21:33




"Valentin" & Numa
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Quelqu'un intervient. Numa gardait les yeux rivés sur son téléphone, dans l'attente d'une réponse. Il se posa plusieurs questions, il commença à taper un message indiquant que comme promis, il était habillé en bleu pour être plus repérable. Mais quelqu'un intervient. Il recula d'un pas, la tête rentrée dans les épaules, le buste de trois quarts ; ça lui permettait d'observer le jeune homme, et la mamie sans avoir à croiser leurs yeux. Il était crispé, il avait mal dans la poitrine, et l'angoisse remontait le long de sa gorge. En compétence sociale, il possédait un magnifique zéro pointé. SOS. SOS. SOS. SOS. Quelqu'un est en train d'intervenir. Calme-toi. Ce n'est rien. Tu ne comprends pas ce qu'elle veut, ce n'est pas grave, ça ne change rien d'habitude. Tu as donné la mauvaise réponse. Ce n'est pas grave. Elle s'en va. Merci l'inconnu.

Pas si inconnu que ça.

Pourquoi lui tendre la main ? Ce n'était pas prévu dans son script. Les gens ne lui seraient jamais la main. Déjà parce qu'on le jugeait trop jeune et trop étrange pour être mis sur ce pied d'égalité. Valentin. C'était Valentin en face de lui. C'était bien Valentin qui était intervenu. C'est nul, terrible. Il n'était pas capable de s'en sortir seul à l'extérieur ; il pouvait montrer des signes d'autonomie : prendre le métro, le bus - lorsqu'il ne se trompait pas -, aller à la pharmacie et au centre. Mais serrer une main, ça n'était pas dans ses habitudes. Situation inconnue, trop étrangère à ce qu'il avait préparé. Pas de serrage de mains. Il n'avait pas ça dans ses compétences. Au moins, Numa avait compris que si Valentin lui tendait la main, c'était pour la serrer : il avait vu cette donnée sociale se réaliser plusieurs fois dans les séries télé.

Numa resta planté comme ça pendant plusieurs minutes, ses yeux allant de l'écran de son smartphone à la main tendue vers lui. Il inspira, il expira, tandis que le stress continuait de se diffuser dans ses veines. Il était en quelque sorte figé, comme un ordinateur incapable de traduire une requête qu'on lui envoyait ; 404, page introuvable.

Non. C'était trop étrange. Numa parvint à se reprendre, il écrivit sur son téléphone, et il montra l'écran ensuite :

« Bonjour, Valentin. Je suis Numa. Merci de ton intervention. »

Pour la mamie.

Tu dois faire des efforts, tu parais déjà chelou, là. Dépêche-toi de réagir.


Et de l'extérieur, Numa ne semblait pas communiquer ; aucune émotion dans le regard, ou sur le visage. Juste, il gardait les yeux rivés sur le côté.

Dépêche-toi. Ça ne va pas faire mal, tu n'es pas obligé de prolonger le contact. Une seconde, deux secondes.

Numa se contenta d'abord d'un geste de salutation. NON. CE N'ÉTAIT PAS SOCIALEMENT SUFFISANT. Sa main tremblait, elle était moite. Au final, il se poussa à le faire. Il se répétait « convention sociale, tu l'as vu à la télévision, tu peux le refaire ». Convention sociale. Contact physique. Il serra donc la main de Valentin, après de longues minutes d'absence. Le contact fut rapide, sa peau était moite, et ça le dérangeait déjà. Il rompit vite le contact, sans lui laisser le temps d'échanger une poignée de main dans de bonnes formes.

Voilà.

Ce n'était pas parfait, mais Numa était parvenu à le faire !

...
Valentin était plus jeune qu'il le pensait. Il ne ressemblait pas fort à ce qu'il avait imaginé, et désormais, Numa se demandait pourquoi avait-il tenté le diable avec une rencontre IRL. Derrière un ordinateur, il pouvait être n'importe qui, du joueur eSport à la Maîtresse BDSM sévère. Il était protégé.

Calme-toi. Calme. Calme-toi. Pas d'anxiolytiques pour l'instant. Tout va bien se passer.

Rappelle-toi du script. Allez. Courage.

« Tu vas bien ? »

De nouveau, sur l'écran de son téléphone. Numa communiquait plus par écrit et langage des signes qu'à l'oral. D'ailleurs ça lui était tellement normal qu'il oubliait que ça pouvait déconcerter les gens. On le pensait sourd ou muet, ou juste débile, et on laissait passer.

Aucune raison pour que ce soit différent là.
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